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Vous avez demandé la Police ? Ne quittez pas… Allo …. ?


Citoyen Solidaire – Policiers en colère

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bandeau-Asso-APG-1024x91Afin de donner un coup de pouce et soutenir la page Facebook  » CITOYEN SOLIDAIRE  » communauté rassemblant près de 3000 personnes, Profession-Gendarme a voulu donner une plus grande visibilité à cette page de soutien pour nos policiers et autres forces de l’ordre abandonnés par leur hiérarchie et par les magistrats.

Nous vous invitons à partager et faire connaître celle-ci au maximum autour de vous.

 

Policiers en colère

Ecusson « Citoyens Solidaires »

Les écussons « Citoyens Solidaires » sont disponibles au prix de :
10.00 € pour un écusson
8.50 € l’unité pour 2 écussons
8.00 € l’unité pour 3 écussons et plus
Frais de port inclusLe paiement se fera exclusivement par PAYPAL
Pour éviter les retards, merci de suivre la procédure suivante :1) Paiement PayPal, en versement vers amis famille (pour éviter les frais) sur papy.nemo3@orange.fr.

2) A réception et après vérification du versement par PayPal, je prépare en même temps la livraison de la commande par courrier suivi par La Poste qui confirmera la réception.

Merci pour eux

Maurice OMOND

Citoyen solidaire ecusson
la totalité des bénéfices est reversé à l’Association Collectif Autonome des Policiers – Île de France – CAP IDF (Membre du collectif national UPNI). pour financer leurs actions et participer à la réalisation d’une vidéo sur le problème des suicides parmi les forces de l’ordre.
Voici le lien vers leur page :  https://www.facebook.com/collectifpoliciersidf/
Citoyen
Source : Page Facebook Citoyen Solidaire

« Purge » contre les policiers: Castaner porte plainte, l’auteur parle d’une « blague »

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Le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner, le 24 octobre 2018 à Paris

Paris (AFP) – Le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner a annoncé lundi avoir porté plainte après la diffusion sur internet de messages appelant à une « purge » des policiers et précisé que l’auteur, qui a reconnu avoir fait « une blague », avait été identifié.

Le jeune homme, un Isérois de 19 ans, s’est présenté au commissariat de Grenoble, où il a été placé en garde à vue à 17 heures, selon une source policière.

Sur Twitter, il a posté des messages affirmant que l’appel à la purge « était une énorme blague et une invention de (sa) part ». « Elle a pris une trop grande ampleur alors j?ai décidé d?annoncer (…) que c’était une blague ! Il n?y aura ni purge à Grenoble, Paris, Genève, Lyon etc… », écrit le jeune homme.

« L’auteur a été identifié. Il prétend que c’est « une mauvaise blague », il sera poursuivi », a réagi le ministre de l’Intérieur sur Twitter. « Appeler à la « purge » contre nos policiers, c’est appeler au meurtre », a-t-il poursuivi.

Depuis samedi, plusieurs documents circulent sur les réseaux sociaux. L’un d’eux, intitulé « Les règles de la purge de Corbeil-Essonnes » appelle notamment à attaquer les forces de l’ordre « au mortier, feux d’artifice, pétards, pierres ».

Le directeur de la police en Essonne Jean-François Papineau a pour sa part porté plainte contre X lundi, a-t-il indiqué à l’AFP, précisant qu’aucun incident sortant de l’ordinaire n’était pour l’heure à signaler.

Les syndicats de police ont vivement réagi lundi, demandant « une action forte » du ministère de l’Intérieur.

Source : News Yahoo

Seine-et-Marne. Coutevroult : un jeune conducteur, alcoolisé, à 215km/h au lieu de 110km/h sur l’A4

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La gendarmerie a intercepté un automobiliste en grand excès de vitesse au péage de Coutevroult, dimanche 28 octobre. Il a été flashé à 215km/h sur l’autoroute A4.

gendarmerie-bon-854x676Au volant d’une Audi Q7, le jeune conducteur circulait à 215km/h. (©M-G D/L’Eclaireur-La Dépêche)

Dimanche 28 octobre, la gendarmerie a flashé un véhicule en grand excès de vitesse sur l’autoroute A4. Les militaires ont procédé à son contrôle au péage de Coutevroult. Il s’agissait d’une Audi Q7 conduite par un jeune homme de 26 ans en permis probatoire.

Originaire de Seine-Saint-Denis, le conducteur roulait en direction de la capitale à la vitesse de 215km/h, alors que la réglementation ne l’autorise pas à dépasser les 110km/h. Le contrevenant présentait qui plus est une alcoolémie de 0,56g d’alcool par litre de sang.

La gendarmerie a procédé au retrait de son permis et la voiture a été placée en fourrière. Le conducteur est dans l’attente des décisions administratives et judiciaires le concernant.

Source : Actu.fr

Alexandre Benalla accuse un haut-fonctionnaire

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SIPA_00875872_000025Alexandre Benalla. Photo © VILLARD/ZIHNIOGLU/SIPA

Affaire Benalla. Entendu le 5 octobre dernier par les juges, Alexandre Benalla a pointé du doigt plusieurs hauts-fonctionnaires lors de son audition.

Une affaire qui n’en finit plus. Des documents du Monde auxquels le Journal du Dimanche a eu accès révèlent un énième rebondissement dans l’affaire de l’ancien chargé de mission d’Emmanuel Macron.

Plusieurs accusations

Pour lui, les évènements du 1er mai, place de la Contrescarpe (Paris), n’auraient jamais dû prendre une telle ampleur et auraient uniquement dû provoquer la saisie « du parquet en vue de l’ouverture d’une enquête préliminaire ». Toujours selon lui, ce qui lui arrive n’est certainement pas le fruit du hasard. C’est même « un haut-fonctionnaire du ministère de l’intérieur au grade d’inspecteur général » qui a dû livrer les faits à la presse. Si le nom de ce haut-fonctionnaire n’a pas été communiqué, Alexandre Benalla accuse aussi directement Alain Gibelin, directeur de l’ordre public et de la circulation (DOPC) à la préfecture de Paris, de « déclarations mensongères ».

« J’aurais eu une médaille »

Ce dernier avait été interrogé par la commission d’enquête de l’Assemblée Nationale où il avait contredit Benalla et expliqué ignorer sa présence avec les policiers le 1er mai. Mais l’ancien chargé de mission d’Emmanuel Macron affirme qu’il y a « bien eu un déjeuner avec le général Eric Bio Farina où il [lui] a dit « tu viens toujours le 1er mai ? » […] Il était parfaitement au courant ». Et de conclure en expliquant : « Si cette affaire était sortie à ce moment-là (au moment du 1er mai), il n’y aurait jamais eu d’affaire […] A ce moment-là, j’aurais eu une médaille ». La suite au prochain épisode …

Source : Valeurs Actuelles

Quelqu’un m’a dit « on ne se suicide que quand on a des remords ».

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Suicide

Quelqu’un m’a dit on ne se suicide que quand on a des remords.

Le remords du gendarme.

Il s’est suicidé parce qu’il avait du remords dites-vous ?
Mais le remords de quoi ?
D’avoir vu ce que peu d’entre nous ont vu ?
D’avoir vu des enfants morts sur le bord d’une route à cause d’un alcoolique au volant, ou d’un sombre crétin qui avait pris la route pour un circuit automobile ?
D’avoir vu des femmes meurtries dans leur chair à cause d’un mari violent ?
D’avoir vu des jeunes ados morts par overdose à cause de dealers ?
D’avoir vu des corps calcinés dans des incendies ?
De voir des délinquants libres comme l’air après avoir été interpellés à cause de certains juges « bisounours » ?

Le gendarme n’est pas seulement « cet emmerdeur » qui vous fait souffler dans l’éthylotest ou contrôle votre véhicule et qui vous mets un PV parce que vous ne respectez pas le code de la route…

Un gendarme c’est un homme comme les autres, avec ses forces, ses faiblesses et sa sensibilité.
On ne peut pas être impunément confronté à toute la misère du monde et s’en sortir indemne.

Alors certains craquent, mais ce n’est pas du remord. C’est un sentiment d’impuissance face à toutes les horreurs qu’ils voient tous les jours et que vous ne pourriez pas supporter de voir, si souvent, sans l’aide d’un psychologue expérimenté.

Alors c’est facile derrière un écran de déverser sa haine des flics.
N’oubliez pas, un jour, celui qui vous sortira de la merde sera peu être un gendarme, plein de remords, mais dont la mission est de vous secourir.  Il le fera parce que c’est sa vocation.

Aucun texte alternatif disponible.
Aucun texte alternatif disponible.
bandeau-Asso-APG-1024x91L’association Professionnelle Gendarmerie (APG) remercie vivement l’auteur de ce très beau texte qui s’adresse naturellement à l’ensemble des membres des Forces de l’Ordre ainsi qu’aux familles des trop nombreux collègues et camarades qui ont été poussés à commettre ces actes d’autolyse. 
Ces drames sont trop souvent causés par le stress, la pression hiérarchique et également par le harcèlement moral qu’ils ont eu à subir.

Un jeune Grenoblois en garde à vue après un « appel à une purge » lancé contre les policiers

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16060911Avec France Bleu Paris

franceinfo – Radio France

Mis à jour le – publié le

Un jeune Grenoblois a été placé en garde à vue lundi après la publication de messages sur les réseaux sociaux appelant à des violences contre des policiers le soir d’Halloween. Une plainte a été déposée.

Un Grenoblois a été placé en garde à vue lundi 29 octobre pour « provocation à la violence contre les forces de l’ordre ». Il avait posté des messages sur les réseaux sociaux appelant à organiser une « purge » le soir d’Halloween, en prenant notamment pour cible des policiers. Il s’inspirait de la série de films Americain Nightmare. 

Sur son compte Twitter, le jeune homme a posté une vidéo en affirmant qu’il s’agissait d’une simple blague mais qu’il a été dépassé par les événements. La police nationale de l’Isère a ensuite pris contact avec lui, avant d’annoncer son placement en garde à vue.

Capture d’écran 2018-10-29 à 22.25.29Capture d’écran 2018-10-29 à 22.26.08

Une plainte déposée dans l’Essonne

Conséquence de cette mauvaise blague, le directeur départemental de la sécurité publique de l’Essonne a porté plainte pour « provocation à la violence » après la diffusion d’un autre message sur les réseaux sociaux reprenant les mêmes codes, et appelant à « des violences à caractère urbain contre les policiers pour le soir d’Halloween à Corbeil-Essonnes ».

Le DDSP Jean-François Papineau a constaté dimanche après-midi la diffusion de messages appelant à une « purge » sur le réseau social WhatsApp. « Je dépose plainte en tant que DDSP pour ‘provocation à la violence’ auprès du procureur d’Evry. D’autre part une grande vigilance sera exercée pour le cas où des individus seraient tentés de répondre à cet appel », a ajouté le DDSP qui s’inquiète d’un fait de violence constaté dimanche à Corbeil et qui pourrait être directement lié à cet appel à la violence sur des policiers.

Les messages en question, intitulés « Les règles de la purge de Corbeil-Essonne », énumèrent les étapes pour s’en prendre aux forces de l’ordre. Sept ou dix « règles », selon les messages, parmi lesquelles « Habillez-vous en noir avec masque si possible », « Brûlez tout ce que vous voyez » ou encore « les forces de l’ordre devront être attaquées au mortier, feux d’artifices, pétards et pierres ». Le tout ponctué de nombreuses fautes d’orthographe.

A lire aussi

Source : France TV Info

 

Marc Le Fur soutient la manif du 17 novembre contre la hausse des carburants

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Le député Marc Le Fur affiche son solidarité avec la grogne générale contre la hausse des prix des carburants et la manifestation prévue le 17 novembre.

gas-station-727162_1920-854x567Les prix à la pompe ont augmenté de plus de 20% depuis le début de l’année (©photo d’illustration Pixabay)

Le député Marc Le Fur soutient ouvertement l’appel à un blocage national, prévu samedi 17 novembre, pour manifester contre la hausse des prix des carburants, en particulier le diesel.

Depuis deux semaines, dans le cadre du débat sur le Projet de Loi de Finances, je me bats dans l’hémicycle en multipliant les interventions pour que le Gouvernement prenne enfin en compte l’impact des prix du carburant sur le pouvoir d’achat des Français.

À Saint-Brieuc, la manifestation du 17 novembre devrait prendre la forme d’une opération escargot depuis l’aéroport de Trémuson jusqu’à la zone commerciale de Langueux. L’événement lancé sur Facebook prévoit déjà au moins un millier de participants.

« Le Gouvernement ne peut plus être sourd »

Lé député enfonce le clou :

Il est désormais urgent que le Gouvernement cesse de faire la sourde oreille à ce cri des Français qui ont compris combien cette mesure soi-disant écologique était d’abord faite pour renflouer les caisses de l’Etat. L’inégalité devient criante entre les cadeaux faits aux plus riches et le matraquage fiscal des classes moyennes. Accroître le prix des carburants, c’est handicaper nos compatriotes dans leurs déplacements pour aller travailler et conduire leurs enfants tant à l’école que dans leurs activités de loisirs. Ça suffit ! Le Gouvernement ne peut plus être sourd !

Source : Actu.fr


La hausse du prix du carburant exaspère les automobilistes

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maxstockworld381300-3913326pompe à essence / © PHOTOPQR / L’INDEPENDANT / MAXPPP

Cette fin octobre, le prix des carburants à la pompe atteint un niveau historique. Le prix du litre de diesel dépasse les 1,50 euros. Le gasoil est désormais presque aussi cher que celui de l’essence. Chez les conducteurs, la colère gronde.

Et si conduire un diesel devenait un luxe ? La question paraît insensée, pourtant c’est ce qui trotte dans la tête de nombreux Français. Le coût d’un plein avoisine les 80 euros maintenant, et cela commence à peser lourd dans leur portefeuille. Jusqu’il y a dix ans les moteurs à gasoil étaient privilégiés à l’achat, désormais l’État lui fait la guerre.

Le gouvernement compte réaugmenter une fois de plus la Taxe Intérieure de Consommation sur les Produits Énergétiques (TICPE) en janvier prochain. Ces augmentations s’inscrivent dans une hausse plus globale voulue jusqu’en 2022. Le prix du litre de gasoil comprendra alors 80 centimes de taxes contre 60 aujourd’hui. Double-peine : le prix du baril de pétrole continue aussi d’augmenter, il se vend ce 25 octobre aux alentours de 58 euros.

Manifestation prévue le 17 novembre

Face à cette nouvelle augmentation, un appel à manifester est lancé pour la date du 17 novembre. Cet appel au blocage national par le biais d’une opération escargot atteint déjà 34.000 participants et 192.000 intéressés sur Facebook.
Pour la Bretagne, l’objectif est de bloquer la rocade de Rennes, et réunit déjà plus d’un millier de personnes sur le même réseau social.
Capture d’écran 2018-10-29 à 00.29.43D’autres automobilistes ont appelé à manifester leur soutien à cette action en mettant en évidence le gilet jaune sur le tableau de bord.

Capture d’écran 2018-10-29 à 00.30.57Le gouvernement semble faire face à une opposition d’une ampleur grandissante. Pourtant, le Premier Ministre Édouard Philippe « assume » la hausse des taxes. Selon lui « c’est un choix politique, et je pense que c’est un bon choix« . Reste à voir si les manifestations du 17 novembre vont faire changer d’avis le gouvernement.

Source : France TV Info

Lire également : Libération – Hausse du prix de l’essence: qui est à l’origine du mouvement du 17 novembre ?

 

 

Suicide d’une femme gendarme: la famille veut une nouvelle enquête

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Sept ans après la mort de Myriam Sakhri, ses proches se sont rassemblés ce mercredi devant le palais de justice de Lyon.

ce-mercredi-devant-le-palais-de-justice-photo-x-b-1540396955Ce mercredi devant le Palais de justice. Photo X. B.

photo-x-b-1540396955Photo X. B.

 

Un rassemblement pacifique, mais des banderoles sans ambiguïté et un message clair. Sept ans après la mort du gendarme Myriam Sakhri dans son appartement de service de la caserne Delfosse de la gendarmerie, ses proches continuent de se battre pour que l’enquête, qui avait conclu au suicide pour des raisons personnelles, soit relancée.

Il n’y a pas de doute sur le harcèlement dont elle a fait l’objet. Il y a trop de zones d’ombre dans l’enquête, trop de silence de la part de la gendarmerie et de la justice

Gérard Piegay, beau-frère de Myriam Sakhri

Une centaine de personne s’est rassemblée ce mercredi après-midi devant le nouveau palais de justice. Gérard Piegay, son beau-frère, Hassina, l’une de ses sœurs, Damia, sa petite sœur de cœur, ont tour à tour pris la parole pour expliquer pourquoi ils ne croyaient pas au suicide, et pourquoi il fallait une nouvelle enquête, indépendante et impartiale, pour lever les doutes : « Il n’y a pas de doute sur le harcèlement dont elle a fait l’objet.  Il y a trop de zones d’ombre dans l’enquête, trop de silence de la part de la gendarmerie et de la justice. Seule la vérité nous permettra de faire le deuil. »

Les proches espèrent récupérer les scellés

Cette vérité, la famille espère la faire éclater grâce à des éléments nouveaux susceptibles d’amener le parquet à rouvrir une instruction. Comme des témoignages de gendarmes par exemple : « Il faut faire accoucher la vérité de la part de ceux qui la connaissent. A l’époque, des gens n’ont pas eu le courage de parler, mais sept ans après, ils sont peut-être prêts », pense Me Basson-Larbi, avocat de la famille.

Les proches espèrent aussi récupérer les scellés, autrement dit les effets personnels de Myriam Sakhri, ou tout au moins avoir la certitude qu’ils n’ont pas été détruits : « s’ils sont conservés au palais, c’est aussi bien. Car ils seront utiles le jour où l’enquête reprendra » poursuit l’avocat.

Les faits

Le matin du 24 septembre 2011, le corps sans vie de Myriam Sakhri est découvert dans son logement de service, à la caserne Delfosse, siège du groupement de gendarmerie du Rhône. Selon les premiers éléments de l’enquête, cette jeune femme qui a soufflé ses 32 bougies dix jours auparavant s’est suicidée en retournant contre elle son arme de service. Un mois après, la famille porte plainte contre X sans attendre le résultat, promis dans les trois mois par le procureur de l’époque, Marc Désert,  de la double enquête diligentée par l’inspection générale de la gendarmerie. L’une relative aux circonstances de la mort, l’autre concernant des faits de harcèlement moral que la gendarme avait dénoncés à sa hiérarchie.

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Myriam Sakhri. Photo DR

Le contexte

Myriam Sakhri avait été affectée à la caserne Delfosse en juillet 2010, au CORG (Centre d’opération et de Renseignement de la Gendarmerie) où arrivent les appels du 17. D’origine algérienne, elle avait été choquée par des propos racistes qui auraient été tenus par certains de ses collègues. Des attitudes qu’elle avait dénoncées à sa hiérarchie. Suite à cet épisode, Myriam Sakhri aurait subi des menaces et intimidations. Placée en arrêt maladie, elle avait été mutée à son retour à la brigade d’Irigny. Ce qui ne l’empêcha pas d’être reçue le 12 septembre 2011 au concours d’officier de police judiciaire. Le 19 septembre, elle prenait contact avec le président de l’association des défense des droits des militaires pour faire part de ses souffrances, auprès duquel elle s’était déjà confiée en juillet. Le 22 septembre, Myriam Sakhri prenait contact avec un avocat en vue de déposer une plainte pour harcèlement moral. Le 24 septembre, elle est retrouvée morte.

L’enquête

Trois mois après les faits, le parquet de Lyon classe sans suite la double enquête sur les circonstances de la mort et les faits de harcèlement moral : « les deux enquêtes approfondies n’ont pas permis d’observer d’infraction » indique à l’époque le procureur.  La famille de Myriam Sakhri ne croit toujours pas à la thèse du suicide pour des raisons personnelles. Elle dépose une plainte avec constitution de partie civile, mais celle-ci se solde à nouveau par un non-lieu en octobre 2013. Tout comme son recours devant la Cour de cassation deux ans après.

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Ses proches se mobilisent. Photo DR

La victime

Myriam Sakhri était âgée de 32 ans. Originaire de Givors, elle était pompier volontaire avant d’être devenue gendarme. En 2011, elle venait de réussir le concours d’officier de police judiciaire, ce qui lui ouvrait de belles perspectives au sein de l’institution. « Elle était engagée au service des autres et ne faisait rien à moitié. Elle était attachée aux principes d’égalité. La dernière fois que nous lui avons parlé, quelques heures avant sa mort, elle n’était pas désespérée. Juste remontée et fâchée » explique son beau-frère Gérard Piegay.

Source : Le Progrès

 

Manifestation pour Myriam Sakhri, gendarme. Ne l’oublions pas !

Lire également : Paris Match – Suicide de Myriam Sakhri: la famille veut une nouvelle l’enquête

Lire aussi : Lyon.mag – Suicide ou meurtre ? Les proches de la gendarme Myriam Sakhri veulent une nouvelle enquête

 

Nantes Carburant : la riposte citoyenne du 17 novembre s’organise sur Facebook

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Une opération escargot est envisagée en partant de la Beaujoire.

Une opération escargot est envisagée en partant de la Beaujoire.

Photo archives Presse Océan – NB

Un appel à bloquer le périphérique samedi 17 novembre contre la hausse du prix du carburant prend de l’ampleur sur Facebook.

Sur le réseau social Facebook, un événement peut vite faire boule de neige : en voici la preuve. Il y a six jours, Adrien met en ligne l’événement « Blocage Hausse Du Carburant #NANTES ». Il appelle à se ressembler samedi 17 novembre, de 14 h à 17 h, au stade de la Beaujoire à Nantes. « J’ai vu la page créée par Eric Drouet, « Blocage national contre la hausse du carburant », appelant à bloquer le périphérique parisien. J’ai pris l’initiative d’en faire une pour Nantes », raconte ce Nantais âgé de 20 ans.

Le compteur d’internautes motivés par l’action s’affole. « C’est impressionnant. On était 150 six heures après la publication, on est près de 10 000 ce vendredi. (8 766 « intéressés » et 2 198 « participants », vendredi soir 26 octobre, N.D.L.R.). »

Récupération politique

L’action du 17 novembre consisterait à mener une opération escargot mais rien n’est encore arrêté. Ces « citoyens lambda » veulent contrer toute récupération politique. « Ce sera un mouvement populaire et apolitique pour protester contre le prix du carburant », insiste Esteban. Mais un appel à la mobilisation générale circule pour bloquer le pays, le 17 novembre, contre la politique de Macron, relayé notamment par le groupe Citoyens en colère sur Facebook.

Source : Presse Océan

La carte des rassemblements du 17 Novembre : Gilets Jaunes

Suicide : La liste macabre ne cesse de s’allonger…

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Ancien #CRS de la 37, Jean-Luc D., trentenaire célibataire, sans enfant, en poste à Strasbourg (67), a pris cette décision cette nuit.
La corporation est à nouveau endeuillée par l’acte ultime d’un de nos frères.
Nos pensées vont vers ses proches, ses amis, ses collègues, vers notre famille triste et abattue.
#UPNI #ClipLorraine #suicidepolicier

 

 

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L’association Professionnelle Gendarmerie (APG) présente à sa famille et à ses collègues ses sincères condoléances.

 

Depuis le 1er janvier 2018 à ce jour, 25 Policiers, 6 Policiers municipaux, 29 Gendarmes et 2 Douaniers se sont donné la mort.

 

Sauf erreur ou omission (62)  :  Voir ci-dessous la triste liste qui ne cesse de s’allonger.

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1er Janvier 2018 – 1 policier brigade nuit Dunkerque,

1er Janvier 2018 – 1 policier à Quimper,

2 janvier 2018 – 1 policier de la CRS 11 à Lambersart

7 janvier 2018 – 1 gendarme à La Châtaigneraie, originaire de Fontenay-le-Comte (Vendée).

17 janvier 2018 -  1 policier, âgé de 46 ans, s’est donné la mort à St Avold 

19 janvier 2018 – 1 policier du commissariat d’Arpajon s’est donné la mort.

19 au samedi 20 janvier dans la nuit – 1 policier de 43 ans a mis fin à ses jours à Nantes

21 janvier 2018 - Suicide de Hervé Hinschberger,  policier à Freyming-Merlebach

26 janvier 20181 gendarme s’est suicidé en pleine séance de tirs à Marseille

28 janvier 2018 -  1 policier au commissariat de Noisy-le-Grand (Jonas G., 46 ans)

8 février 2018 -  1 policier s’est donné la mort dans la nuit de mercredi à jeudi à Beziers -

9 février 2018 – 1 gendarme de la brigade de Cambremer s’est suicidé.

12 février 201 -  1 policier de Montluçon âgé de 52 ans (dont on a retrouvé le corps sans vie dans les vestiaires du commissariat.)

18 février 2018 – 1 policier de 43 ans affecté à la PAF s’est donné la mort à Paris

18 février 2018 – 1 gendarme du peloton motorisé de Clermont-l’Hérault (Hérault)

22 février 20181 policier âgé de 42 ans et père de 4 enfants, du commissariat de Valencienne

04 mars 20181 gendarme de 42 ans de la brigade de VIGNEC (65)

Mars 20182 gendarmes (suicides non listés)

21 mars 2018 - Marne : 1 douanière retrouvée morte dans son service de l’aéroport de Vatry.

22 mars 2018 – 1 gendarme de 36 ans de la brigade d’Auvers-sur-Oise (Val-d’Oise).

23 mars 2018 – 1 Policier de 36 ans, Quart. de nuit Paris secteur nord.

26 mars 20181 gendarme, âgé de 27 ans, caserne Clemenceau à Rennes.

– avril 2018 - 1 policier municipal ( Richard) du Plessis Trevise (94)

28 avril 20181 policier, âgé de 44ans, hôtel de police de Créteil (Val-de-Marne). (Source : Libération)

11 mai 2018 – 1 gendarme « Guillaume » âgé de 37 ans, Brigade de Proximité de DRULINGEN

17 mai 2018 – 1 gendarme « Karim » âgé de 40 ans, Pmo de Cerans (72)

19 mai 2018 - 1 policier municipal,  44 ans, dans les locaux de la police municipale du Pradet

20 mai 2018 – 1 policier, Sébastien alias Pich, département 93 ( source : Unité SGP Police 93 )

20 mai 2018 – 1 gendarme, Lionel G. Âgé de 32 ans, du peloton spécialisé de protection de la Gendarmerie (PSPG) de Valduc (Côte d’Or) (source : L’Essor.org)

26 mai 2018 – 1 gendarme Rémi âgé de 36 ans du peloton spécialisé de protection de la Gendarmerie (PSPG) d’Avoine (Indre-et-Loire) (Source : L’Essor.org)

04 juin 2018 – 1 policier municipal âgé de 58 ans Aix-en-Provence ( 20 Minutes )

03 juin 2018 – 1 gendarme âgé de 23 ans -Psig- de Lodève (e-Metropolitain)

19 juin 2018 – 1 gendarme âgée de 24 ans -brigade de FEURS (42). (AG&C)

28 juin 2018 – 1 policier, 52 ans, Claude  du GAJ Centre nuit Marseille. (Facebook )

02 juillet 2018 – 1 policier,  Jean-Michel P âgé de 47 ans, hôtel de police de Rennes. (Facebook)

28 juillet 2018 – 1 policier, Sébastien R. 38 ans, Capitaine de Police commissariat du 9ème Paris

06 aout 2018 – 1 Policier Municipal, Thierry R. âgé de de 47 ans de Besançon (Doubs) (Actu17)

16 aout 2018 – 1 Douanier, Âgé de 25 ans, METZ (Facebook)

18 aout 2018 – 1 Gendarme, Nathanaël D., âgé de 46 ans, communauté de brigades (COB) BAPAUME – BERTINCOURT, Pas de Calais (62) (Facebook)

20 aout 2018 – 1 Policier, Olivier F., 36 ans, Brigade Judiciaire de Nuit (BJN) de Créteil (94) (Facebook )

30 aout 2018 – 1 gendarme   quartier Deflandre, Dijon (21) (Bien Public)

31 aout 2018 – 1 Policier Municipal, Frédéric R. Police municipale de GARDANNE (13) (Facebook)

02 septembre 2018 -  1 Policier du commissariat de Maisons-Alfort (Val de Marne) (Europe1)

07 septembre 2018 – 1 Policière, âgée de 22 ans, Compagnie Territoriale de Circulation et de Sécurité Routière (CTCSR) de Seine-Saint-Denis. Arme de service a son domicile à Lagny-sur-Marne. (Actu17)

18 septembre 2018 – 1 gendarme,  Major en fonction à la Gendarmerie des Transports Aériens, DGAC à Issy-les-Moulineaux (Actu17)

22 septembre 2018 – 1 gendarme, adjudant à l’escadron 42/3 de Lucé (Eure-et-Loir)

27 septembre 2018 – 1 gendarme, P S  P G  de BELLEVILLE SUR LOIRE (18).  (L’Essor)

04 octobre 2018 – 1 policier, Alexis 22 ans adjoint de sécurité affecté au service de roulement de Lille

07 octobre 2018 – 1 gendarme  Patrice H. du PSIG de la Valette-du-Var

09 octobre 2018 – 1 gendarme,  Guillaume POUILLET,  groupement de gendarmerie de l’Indre (36) (AG&C)

14 octobre 2018 – 1 Policier, Un jeune Adjoint de Sécurité, Thiézarré HORTH, s’est suicidé ce matin à Villeneuve la Garenne (92)

22 octobre 2018 – 1 Policière Municipale à son domicile, commune d’Avignon

23 octobre 2018 – 1 Policier, Frédéric L… CRS de 26 ans, Bagnères de Bigorre.

-  (Des renseignements recueillis auprès de la DGGN nous apprenons que 7 gendarmes s’étant suicidé ne figurent pas dans notre liste)  Gendarmerie nationale

29 octobre 2018 – 1 Policier, Ancien #CRS de la 37, Jean-Luc D., trentenaire, célibataire, Strasbourg (67)

 

 

Jouars-Pontchartrain : la très utile brigade cynophile des gendarmes

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7930089_ce5d96b6-dac6-11e8-9c7f-4446e830d251-1Jouars-Pontchartrain, ce dimanche. Yves Bouret a démontré avec succès les capacités de sa chienne Fidji

Invité du club canin de Jouars qui organisait sa première Journée du chien, le groupe d’investigation cynophile basé à Beynes a fait l’admiration du public.

Il ne lui a fallu que quelques minutes. Fidji, l’un des chiens du groupe d’investigation cynophile de la gendarmerie des Yvelines, n’a pas failli à sa réputation de renifleur hors pair.

Sous la conduite d’Yves Bouret, commandant de l’unité, cette femelle malinois a déterré les trois produits accélérateurs d’incendie, soigneusement dissimulés sous la terre, dans un champ. Cette démonstration a constitué l’un des temps forts de la 1re Journée du chien, organisée ce dimanche par le club canin de la Plaine de Jouars.

Recherche de stupéfiants, de personnes, d’explosifs ou de billets

Les applaudissements du public ont montré l’utilité de l’animal dans le travail des enquêteurs basés à Beynes. « Notre groupe compte huit hommes et femmes ainsi que douze chiens. Il est le seul dans le département à pouvoir assurer de multiples missions, qui vont de la perquisition à la recherche de stupéfiants, personnes, explosifs, armes et munitions, billets, produits d’incendie en passant par les interventions à proprement parler », explique ce gendarme aguerri. « Chez nous, la base du dressage, c’est le jeu. Un événement comme celui-là montre une image différente de la gendarmerie et fait connaître notre métier », glisse-t-il encore.

Yves Bouret et son groupe sont régulièrement consultés pour leur expertise en appui de simples brigades ou pour des enquêtes plus poussées. « Dans le cas d’un incendie, c’est nous qui pouvons déterminer le produit qui aura déclenché ou accéléré la propagation du feu, ce qui va apporter une preuve de la cause du sinistre », prend en exemple le commandant du groupe.

Une bonne première pour le club

La venue d’Yves et de ses deux chiens Malinois et Staffi, c’est une aubaine pour le club-canin de la Plaine de Jouars qui promeut l’éducation canine. « Il montre l’utilité du chien de travail, dans un cadre qui n’est (…)

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Source : News Yahoo

La mairie du Cannet refuse de réintégrer l’ex-chef de la police municipale victime d’un AVC

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maxmatinnews318346Illustration. Photo F. V

Malgré deux jugements ordonnant la réintégration de Maurice Galmacci, la mairie a saisi, jeudi, le Conseil d’Etat qui se prononcera dans les prochaines semaines.

Est-ce la fin d’une longue et douloureuse période pour Maurice Galmacci?

Jeudi à Paris, s’est jouée devant le conseil d’Etat, l’ultime procédure pouvant conclure à la reprise de son travail à la mairie du Cannet.

Malgré les jugements du tribunal administratif de Nice (mars 2016) et de la cour administrative d’appel de Marseille (janvier de cette année) ordonnant la réintégration du requérant suite à ses problèmes de santé, la mairie persiste et signe dans son refus à appliquer ses décisions.

Condamnée à deux reprises par les juridictions administratives, la commune a donc déposé un pourvoi pour faire valider son refus. Le rapporteur public a rapidement rejeté les arguments de la collectivité, en confirmant la lecture du droit de la cour d’appel, pour demander le rejet du pourvoi.

Amputation, longue maladie, dépression…

Employé municipal depuis 1987, Maurice Galmacci a été frappé par un accident vasculaire cérébral (AVC) en 2007 qui a entraîné une amputation partielle d’une de ses jambes. Il était à l’époque chef de la police municipale.

Suite à cette intervention, il a été placé en congé de longue maladie jusqu’en février 2008, puis en congé de longue durée jusqu’en février 2011, en raison d’une « dépression nerveuse réactionnelle ». Cette même année, puis en septembre 2013, le comité départemental et le comité médical supérieur ont émis un avis favorable à la reprise des fonctions de Maurice Galmacci.

En janvier 2014, ce dernier a donc demandé à la mairie a être réintégré dans ses fonctions. Ce qui lui a été refusé.

« Aucun poste vacant »

Pour justifier cette non réintégration, la mairie explique dans son mémoire que l’avis du comité médical lui a été notifié tardivement et « qu’elle ne disposait d’aucun poste vacant permettant de réintégrer l’intéressé sur des fonctions relevant de son grade et compatibles avec son handicap. »

Le rapporteur public, rejetant ces arguments, a précisé jeudi que la mairie avait demandé la saisine du comité médical plus d’un mois après sa décision et qu’il lui appartenait « au lendemain du dernier jour de son congé de maladie, soit de le réaffecter à son ancien poste, à temps partiel thérapeutique à 50% pour six mois, soit, si celui n’était pas disponible, de le nommer à tout emploi de même nature se trouvant vacant au sein de la collectivité. »

Le magistrat a donc conclu au rejet du pourvoi de la mairie du Cannet. Décision dans les prochaines semaines.

Source : Nice matin

Béziers : Un homme agresse 3 jeunes femmes en raison de leurs tenues vestimentaires.

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IMG_20171003_202640-e1516706404454Illustration Actu17 ©

Deux d’entre elles ont été blessées, la troisième a violemment répliqué à l’agression.

Trois jeunes femmes ont été attaquées par un inconnu à la sortie d’une boîte de nuit de Béziers, le 28 septembre dernier. L’une a subi une double fracture du nez, la deuxième a été sérieusement touchée à la tempe. Quant à la troisième, elle est parvenue à frapper l’agresseur et a prendre le dessus. Le suspect, qui a été mis en fuite, a été interpellé quelques heures plus tard.

«  Il nous a dit que nous faisions honte au Coran »

Les victimes, qui se sont confiées à Midi-Libre, témoignent : « Si nous avons été agressées, c’est tout bêtement car nous portions une tenue vestimentaire qui ne plaisait pas à cet homme. Il nous a insultés. Il nous a dit que nous faisions honte au Coran et nous en passons […] ».

Du sang sur ses vêtements

L’assaillant, âgé de 23 ans, avait agressé un homme quelques heures avant de s’attaquer aux jeunes femmes. Les policiers ont pu l’identifier rapidement et l’interpeller à son domicile. Il était rentré se changer car il avait du sang de ses victimes sur ses vêtements.

Laissé libre

Le suspect a été placé en garde à vue. Les analyses toxicologiques pratiquées sur lui font état d’une consommation d’alcool et de cocaïne peu avant les agressions. Il a été laissé libre, sous contrôle judiciaire à l’issue de sa garde à vue. L’homme doit comparaître devant la justice le 28 novembre prochain, rapporte le quotidien régional.

Source : Actu17.


Imposteurs chez les Anciens combattants

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fausses-decorations-faux-uniformes-quasiment-pas-de-controles-tant-que-l-interesse-ne-postule-pas-au-statut-d-ancien-combattant-photo-d-illustration-afp-jacques-demarthon-1540761064Fausses décorations, faux uniformes. Quasiment pas de contrôles tant que l’intéressé ne postule pas au statut d’ancien combattant. Photo d’illustration AFP/Jacques DEMARTHON

Faux colonel, général mystificateur. Médailles ou Légions d’honneur usurpées. Chaque année, plusieurs cas sont démasqués dans l’Hexagone au sein des unions locales. Un phénomène pas si rare dans le monde combattant.

Il y a eu Gilbert, 74 ans, le « Bigeard local », comme l’ont décrit ses amis de l’époque en région parisienne. Béret rouge de parachutiste, médailles à foison. « Un homme respecté qui chapeautait plusieurs associations d’anciens combattants. » Une imposture de quatorze ans.

Il y a eu Marc, vrai caporal-chef quinquagénaire qui organisait de grands raouts en Alsace sous son (faux) grade de commandant. Et puis, il y a quelques jours, en Bretagne, un jeune porte-drapeau de 47 ans, couvert de décorations, fanfaronnant avec son passé d’engagé durant la guerre du Golfe et au Kosovo. Une nouvelle mystification.

Combien seront-ils derrière les drapeaux et les honneurs, lors de la prise d’armes du 11-Novembre, à s’être inventés un passé, à jouer des zones d’ombre de l’histoire ? Pas la majorité, c’est certain, mais quelques-uns, qui jettent le discrédit sur toute une corporation. Ceux qui les ont côtoyés parlent de déshonneur. D’autres préfèrent en sourire, rappelant qu’il n’y a pas mort d’homme et que ce phénomène d’affabulation existe dans des cas plus douloureux encore, comme récemment au sein des victimes d’attentat.

Internet, brocantes : tout l’apparat à portée de main

« On en rit encore pour ne pas en pleurer », résume, lui, Francis Deloeil, président actuel de l’Union locale des combattants de Pontivy (Morbihan). 170 adhérents, dont la majorité issue de la guerre d’Algérie, cinq porte-drapeaux. Un bastion. Une forteresse qui a pourtant connu elle aussi son revers de la médaille, en 2015. Un certain Raymond B. a abusé tout le monde : élus, notables, et tous les anciens combattants qui l’ont porté à la présidence de l’UNC locale. « Il passait alors de colonel à général, il était en retraite, il était le candidat idéal, ça ne se bousculait pas au portillon », retrace Francis Deloeil. L’homme possédait un CV long comme la guerre de Cent ans, une prestance d’officier de haut rang. Le « faux » général n’a été président qu’une semaine. Son erreur ? Pousser l’imposture trop loin en arborant la Légion d’honneur. Le détail qui tue, et qui met alors la puce à l’oreille du responsable départemental de la prestigieuse décoration. Uniformes, décorations, médailles, accessoires, tout est à portée de bourse aujourd’hui, et de tromperie. Internet a changé la donne. « En brocante, c’est très facile aussi, vous ressortez, vous pouvez être grand croix de la Légion d’honneur », soupire Francis Deloeil qui a dû montrer patte blanche et surtout ses papiers certifiés de colonel honoraire pour être adoubé par ses pairs.

Dans les faits, tant qu’une personne n’a pas sollicité l’ouverture d’un dossier (transmis ensuite à l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre) pour obtenir le statut d’ancien combattant*, aucun vrai contrôle n’est effectué, reconnaissent les différentes associations. Ou alors, au coup par coup. Souvent, les imposteurs étaient en quête de « gloriole » locale, d’un vrai besoin de reconnaissance qu’ils n’avaient peut-être pas eue dans leur vie professionnelle antérieure. Pas dans un but financier. Pour port illégal d’uniforme et de décorations, usurpation de titres et de fonctions, ils risquent un an de prison et 15 000 € d’amende. Dans les faits, les condamnations sont surtout symboliques : deux mois de prison avec sursis pour l’un, une amende de 650 euros pour un autre. De faux « héros anonymes » que le général Bigeard, le vrai, aurait envoyés à l’ombre.

* Pour être reconnu comme ancien combattant, il faut avoir été présent 90 jours consécutifs sur un territoire hostile/de guerre. La retraite à partir de 65 ans de 700 € à l’année.

Source : Le Dauphiné

La CEDH condamne une Autrichienne pour avoir comparé le prophète Mahomet à un pédophile

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Vue de la Cour européenne des droits de l’homme à Strasbourg (image d’illustration).

Une conférencière autrichienne a été condamnée par la Cour européenne des droits de l’homme, qui a jugé que ses propos comparant le mariage entre le prophète Mahomet et sa troisième épouse à de la pédophilie menaçaient la paix religieuse.

La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a jugé une conférencière autrichienne coupable d’avoir dénigré l’islam après que celle-ci a comparé le prophète Mahomet à un pédophile pour avoir épousé Aïcha, une fillette de six ans.

Simplement désignée par les initiales E.S., cette conférencière avait déjà été condamnée par un tribunal autrichien à 480 euros d’amende pour ces mêmes propos. Les sept juges de la CEDH ont donc confirmé ce jugement, estimant que sa comparaison allait «au-delà des limites permises d’un débat objectif», appuyant le tribunal autrichien qui l’avait considérée comme «une attaque abusive susceptible de susciter des préjugés et de menacer la paix religieuse».

La conférencière avait, sans succès, fait appel devant la Cour suprême autrichienne avant de porter l’affaire devant la CEDH. Elle a fait valoir que ses propos, tenus lors de séminaires auprès de membres du Parti de la liberté (FPO) en 2008 et 2009, avaient pour objectif de relancer le débat public sur le mariage des enfants. «Un homme de 56 ans et une enfant de six ans ? [...] Comment appelons-nous cela, si ce n’est pas de la pédophilie ?», avait-elle déclaré en référence au mariage entre le prophète Mahomet et Aïcha, âgée de six ans au moment de l’union et de neuf lorsque celle-ci été consommée, selon certaines interprétations.

La CEDH a assuré avoir «évalué de manière exhaustive le contexte plus large» pour rendre son jugement, soulignant avoir pris le soin d’équilibrer «le droit à la liberté d’expression avec le droit des autres à voir leurs sentiments religieux protégés». Les sept juges ont fait valoir que les expressions utilisées par la conférencière pour décrire le prophète Mahomet n’étaient «pas formulées de manière neutre» et ne pouvaient donc pas être considérées comme une contribution légitime au débat public sur le sujet sensible du mariage des enfants.

Source : RT France

Protection des personnalités : le policier soupçonné de radicalisation dénoncé par son service ?

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INFO LE POINT. Évincé après des soupçons de consultation de sites djihadistes, le brigadier paie-t-il le fait d’avoir pointé du doigt des dysfonctionnements ?

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Il a protégé Benjamin Netanyahu et son épouse. Plus récemment, il faisait partie de l’équipe en charge de la protection de Riss, actuel patron de Charlie Hebdo, et auparavant de rabbins menacés. Ce policier du Service de la protection (SDLP), service chargé de la sécurité de personnalités sensibles, a été promu brigadier en 2017, grâce à de bons états de service, l’administration l’ayant dispensé de passer le concours. L’agent a toujours été très bien noté. Lors de l’attentat de novembre 2015 au Stade de France, il avait été félicité par sa hiérarchie pour avoir pris l’initiative de monter un périmètre de sécurité. Plus récemment, il a sauvé un homme qui menaçait de se défenestrer, action pour laquelle il a reçu la médaille du courage. Malgré ce pedigree, le policier a été évincé du SDLP. Selon les informations de BFM TV, il est soupçonné d’avoir consulté des sites djihadistes et de s’être radicalisé.

En réalité, la direction du SDLP, menée par Frederic Auréal – qui a été mis en cause par Alexandre Benalla dans son audition devant les juges d’instruction –, a distillé des éléments à charge aux médias. Elle a d’ailleurs reçu lundi matin un courrier de la part de l’avocat du mis en cause, contestant son retrait d’habilitation et son éviction du service. En effet, ce policier n’est pas mis en cause, car il aurait consulté des sites djihadistes. La réalité est tout autre. Comme nombre de ses collègues (ou des journalistes, notamment) qui s’intéressent au terrorisme, il a reçu une vidéo de propagande djihadiste qu’il a partagée en circuit fermé dans le groupe Whats’app, auquel il participe avec ses collègues. La DGSI n’a pas intercepté cette vidéo, mais sa diffusion a été dénoncée par des destinataires de cette conversation Whats’app. Serait-ce une vengeance ?

On sait que le policier aujourd’hui mis en cause avait précédemment évoqué de nombreux dysfonctionnements, notamment au sein de l’équipe de protection de l’imam Hassen Chalghoumi, connu comme l’imam de Drancy. Une équipe dont il faisait partie. «  Les retraits d’habilitation, c’est une méthode pour virer des fonctionnaires pour pas cher  », estime une source au sein du renseignement. Il y a trois semaines, le jour du retrait de son habilitation, le brigadier a reçu des menaces de sa direction lui intimant de ne pas faire de recours. Coïncidence ?

Source : Le Point

Maine-et-Loire. Louis la Brocante se fâche avec son épouse, les gendarmes interviennent

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Ce vendredi 26 octobre 2018, les gendarmes du Maine-et-Loire sont intervenus suite à… une dispute de Louis la Brocante avec son épouse…

Citroën_Type_H_1969_-_Mondial_de_lAutomobile_de_Paris_2016_-_001Les gendarmes pensaient intervenir pour une dispute il s’agissait de celle… d’une série télé, Louis la Brocante. (©Wikipédia)

Histoire insolite racontée par les gendarmes du Maine-et-Loire sur leur page Facebook, ce vendredi 26 octobre 2018, ils pensaient intervenir suite à la dispute d’un couple. Il s’agissait en fait de celle, télévisée, de… Louis la Brocante avec son épouse.

Quand le téléphone sonne au centre d’appels d’urgence de la gendarmerie, le gendarme de permanence entend « une discussion virulente entre une femme et un homme à propos d’un possible divorce ».

La patrouille intervient… dans une maison de retraite

Estimant qu’une personne peut être en danger, une patrouille est envoyée.

Le cadre ne correspond pas vraiment à ce qu’ils attendaient. Ils entrent… dans une maison de retraite. Il y découvrent un homme de 90 ans assis devant sa télévision.

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A côté du téléphone sans fil, une télécommande. Les gendarmes comprennent très vite ce qu’il s’est passé.

Croyant prendre sa télécommande pour changer de chaîne et regarder la « 17 », le retraité avait en fait composé ces chiffres sur son téléphone et non sa télécommande… »

La conversation entendue par l’opérateur était en fait… celle d’une série télévisée : Louis La Brocante qui se fâchait avec son épouse…

Source : Actu.fr

 

 

le 17 novembre 2018 c’est CADEAU DU 17

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POLICIER-SOLIDAIRE

Parce que les policiers sont aussi avant tout des citoyens et des automobilistes.

Parce le 17 novembre prochain sera une journée de manifestation de mécontentement de la population. Parce qu’à l’ UPNI nous sommes solidaires des citoyens .

Nous invitons nos collègues travaillant sur les dispositifs ou non, à remettre aux automobilistes et manifestants un flyer .

LE 17 , CADEAU DU 17 ! Ce flyer montrera notre solidarité face à cette colère citoyenne légitime.

Nous demandons donc au plus grand nombre de nos collègues d’imprimer ce flyer en abondance et de les distribuer sans discontinuer le 17 novembre prochain tout en expliquant à nos concitoyens les particularités et difficultés de notre profession .

Nous encourageons également nos collègues à placer leurs gilets jaunes sur leur tableau de bord en signe de solidarité .

FLYER en cours de réalisation….

Source : Union des Policiers Nationaux Indépendants (UPNI)

 

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